Comme s’il s’agissait d’un os bien poli,
je lime chaque jour les heures qui me chaussent,
mais parfois les fantômes me distraient
et les neurones ne parviennent pas à se
toucher,
alors j’oublie que le parapluie est un
parapluie.
Cela arrive dans les petits noyaux du sang.
Le voyage vers la vie primitive
commence chaque jour,
la chair se débat
et le corps,
parfois,
nous rend tristes.
Como si se tratara de un
hueso bien pulido,
limo cada día las horas
que me calzan,
pero a veces me distraen
los fantasmas
y las neuronas no llegan a
tocarse,
entonces olvido que el
paraguas es paraguas.
Eso ocurre en los pequeños
núcleos de la sangre.
El viaje hacia la vida
primigenia
comienza cada día,
la carne se debate
y el cuerpo,
a veces,
nos hace tristes.